
Jeune chanteur, auteur, compositeur, franco anglais, Jude Todd présente son dernier single « Don’t need your love ». Il se place dans le registre pop folk. Sa participation dans The Voice, en 2013, marque son enthousiasme et son envie de partager son talent et son expérience. Sortie digitale du single.
Il choisit naturellement la voie de la musique. La guitare est son instrument de prédilection. Lorsqu’il commence à composer, Jude a seulement quatorze ans. Il chante et joue de la guitare à l’écoute et à l’oreille. Il apprend lui-même à mettre en musique ses textes.
Dans la lignée des musiciens actuels de pop d’influences diverses, sa partition évoque le voyage, l’évasion, les grandes étendues, l’amour, la liberté. Il s’est inspiré des Beatles, de The Verves….
Il a formé un premier groupe, « Sundayfools », en 2011.
Il a fait récemment des premières parties : BB Brunes, Elephant, Raphaël, Gaëtan Roussel…
Son nouveau single « Don’t need your love » est en anglais et pour la première fois en français, « Toujours là ».

Interview: Jude Todd
-Quand avez-vous commencé à faire de la musique?
JT : J’ai commencé à faire de la musique à l’âge de 15/16 ans. Très jeune, j’avais pris l’habitude de chanter et d’écrire des paroles. Je m’enregistrais, à l’époque, sur des cassettes. Mes parents m’avaient offert bien avant, une guitare. Je me suis laissé tenter par la création. J’ai commencé à jouer sans apprendre au départ les accords. J’ai créé mes premiers morceaux à l’oreille. Le groupe est venu plus tard, au lycée. J’ai monté Sundayfool. Nous avons joué sur des scènes régionales, telles que Fréjus, Saint Raphaël et ses environs. Autodidacte, j’ai appris tout seul la guitare et le chant. Mon approche de la musique a ensuite évolué et progressé.
-Dans quel genre musical vous situez-vous ? Quel groupe ou musicien vous a le plus marqué ? Une expérience significative ?
JT : Je me situe principalement dans la pop anglaise avec des sonorités éclectiques. Je m’intéresse à différents courants et genres, comme le gospel, le hip-hop, le rock. Le titre « Don’t need your love », aussi en version française, en est représentatif. Avec mon groupe, je travaille sur un nouvel EP, encore plus éclectique, qui se rapprochera de l’indie pop, un courant qui caractérise aussi ma musique. Il sera composé de titres principalement en anglais.
-Vous avez différentes expériences de scène et de concerts. Que gardez-vous en mémoire de votre participation dans The Voice ?
JT : A l’époque, j’avais à peine dix-huit ans. J’en garde un très bon souvenir. L’aventure était exceptionnelle, un réel tremplin musical. Le principe est évidemment de travailler pour être performant. J’en retiens la progression technique, j’ai appris en trois mois ce que normalement j’aurais acquis en deux trois ans. La rencontre musicale est aussi importante que la rencontre humaine. Après cela, j’ai enchaîné avec des projets, du travail et surtout j’avais une réelle motivation que les coachs Garou et Jenifer m’ont communiquée. J’ai pu voir également le côté « showbizz » de la télévision. L’effervescence d’après l’expérience « The Voice » s’est ensuite estompée mais cela m’a permis de me démarquer. J’aurai du, à l’époque, avoir un projet tout prêt pour les maisons de disque. Je l’ai réalisé plus tard. J’ai pu faire par la suite les premières parties de concerts d’artistes tels que BB Brunes, un concert à Fréjus, le premier concert après l’émission, à la maison en plus ; puis Benjamin Biolay, Louane, Amir, Charlie Winston. J’aime la scène et le direct, être au plus près du public et partager des émotions spontanées.
-Auteur, compositeur et interprète, quelles sont les étapes de création ?
JT : J’écris des chansons de façon aléatoire. Je prends ma guitare et je trouve des mélodies. Si les accords m’inspirent, je trouve rapidement. Le chant vient ensuite. Lorsque la chanson est à peu près faite, je vais en studio ou j’arrange les morceaux avec mes musiciens Florent et Jean Charles. A la base, la création vient de moi. On harmonise et on arrange ensuite. L’inspiration dépend beaucoup des périodes. Comme tout artiste, je me trouve face à des moments de non créativité, puis un jour tout arrive et je suis capable de produire tous les textes à ce moment, toutes les compositions. Je trouve les idées dans la vie, dans mon quotidien et j’y introduis aussi une part de fiction. Dans ma catégorie, l’amour est toujours un thème central. Aujourd’hui, comblé, j’essaye d’écrire un peu moins sur l’amour. Je m’oriente vers des thèmes comme l’évasion et le voyage.
-Ce nouveau single annonce-t-il un prochain album ? Quels sont vos projets ?
JT: Oui, le titre fera parti de l’EP qui sortira l’année prochaine. « Don’t need your love », ouvre une nouvelle page. C’est la première fois qu’un single intéresse autant les médias et les radios. Je souhaite conserver ce bon feeling. La version française du single, « Toujours là » est sortie en digital ainsi que « Don’t need your love », version anglaise, qui a été relayée sur toutes les plateformes en Angleterre. Le single, même s’il n’est pas très joyeux, est un morceau pour l’été. A la manière de Stromae, la mélodie est entraînante, le texte reste plus sombre.
Côté scène, un showcase est prévu le 3 août, chez Fun Radio Nice, où je présenterai avec le groupe, « Don’t need your love ». Puis, le 18 août, nous serons au Palais des festivals, à Cannes, pour un autre showcase, avec les nouveaux morceaux de l’EP; la sortie de ce dernier est toujours prévue pour le début d’année.

« Don’t need your love »
Single, sortie digitale sur toutes les plateformes
Jude Todd
Clip vidéo sur Youtube
great
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Thanks
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