La Galerie Suzanne Tarasiève Paris, Loft 19, à Paris expose les oeuvres du photographe Stanislas Guigui, “Cabaret New Burlesque“, du 23 septembre au 29 novembre 2014.
Un des plus important travaux est un travail sur la Colombie, en 1996, après la guerre civile qui ravagea le pays. La misère règne dans les rues de Bogota.


En 2006, son travail sur « El Cartucho » est récompensé à PhotoEspagna et l‘UNICEF en 2008.
Des artistes de cabaret photographiés en noir et blanc
Les photographies réalisées sont en général en noir et blanc. Il y a un côté intemporel, réaliste et nostalgique. Ce qui crée une distance.
Le photographe montre la réalité, celle que l’on a du mal à regarder,que l’on ne connait pas ou que l’on ignore.
Dans ce sujet très différent des autres, le « Burlesque » est un thème plus léger. Ici, il apparaît plus vulgaire, grossier que comique montrant des danseuses bien en chair, tatouées, maquillées. Un monde presque fellinien. Le cabaret, le monde de la nuit et de la fête, des danseuses dévêtues. Le photographe a un regard plus détendu avec des jeux de lumières, des personnages en mouvement, en représentation, des images floues et des effets brillants sur les clichés en noir et blanc.
« Cabaret New Burlesque », Stanislas Guigui
Livre photographique publié, aux éditions Images Plurielles, en début d’année 2014.